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promenade photographique du 16 au 31 octobre 2021

28 Novembre 2021, 19:23pm

Publié par durgalola

promenade photographique du 16 au 31 octobre 2021

 

 

promenade photographique du 16 au 31 octobre 2021

 

 

promenade photographique du 16 au 31 octobre 2021

 

 

promenade photographique du 16 au 31 octobre 2021

 

 

promenade photographique du 16 au 31 octobre 2021

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proposition pour le défi 257

28 Novembre 2021, 18:14pm

Publié par durgalola

 

 

Défi 257 

avec les croqueurs de mots

 

Pour ce défi 257 , c'est à mon tour de prendre la barre ; je vous propose de regarder cette toile et de vous en inspirer pour écrire un texte. Elle se nomme chassé-croisé. Vous pouvez vous inspirer de la totalité ou de la partie droite ou gauche du tableau. Ce peut être en relation directe avec le tableau ou simplement ce que cela invoque pour vous. 

En décembre, il n'y aura pas de jeudi en poésie. 

Bonne inspiration et merci d'avance pour vos participations que vous pourrez publier toute cette semaine sur votre blog. 

 

REBECCA BRODSKIS  vit et travaille à Paris. Elle passe la majeure partie de son enfance à voyager et à vivre entre la France et le Maroc. Ayant toujours été attirée par les études théoriques, elle a terminé un Master en sociologie sur les thèmes de la vulnérabilité et de la crise sociale, avant de rentrer s’installer à Paris. (extrait de septième gallery).

 

 

 

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abîmer la douceur (Cécile Coulon)

27 Novembre 2021, 19:22pm

Publié par durgalola

Abîmer la douceur

 

Nous devrions cesser de troubler tous ceux qui sont doux,

et calmes et indulgents avec nous.

Vraiment,

nous devrions cesser de nous appuyer

sur cette douceur, ce calme, cette indulgence,

comme des géants s'appuient sur des piliers fissurés,

entendent le bruit des pierres se briser de l'intérieur

et continuent, par inertie,

de se reposer sur ces colonnes usées.

 

Nous devrions cesser de penser que cette gentillesse

- ce n'est pas un gros mot, "gentil" -

n'est pas une tare contemporaine.

Ce n'est pas forcément pour être accepté,

pour qu'on vous invite à dîner, à danser, pour ne pas être seul.

Cette gentillesse est un jouet qu'on peut lancer

contre les murs,

qu'on peut tordre dans tous les sens,

qu'on peut faire et défaire, et brutalement jeter par terre,

pour voir par magie les morceaux éparpillés

se rassembler d'eux-mêmes.

 

Nous devrions cesser de jouer avec ceux qui ne se jouent pas de nous.

 

Imaginez un violoniste interrompre le concert

à coup de carabine.

Imaginez un moine incendier une abbaye.

Imaginez un enfant sage écorcher ses amis, s'il a la chance

d'en avoir.

 

Nous devrions cesser de croire

que la bienveillance est une vertu infaillible.

Que la douceur est solide. Que l'oreille qui écoute ne tombe jamais malade.

Toute personne qui apporte de la légèreté échange sa chaleur 

contre un morceau de vos abysses.

Et nous en redemandons, encore et encore,

sans chercher à savoir où s'entassent ces mauvais moments

dans la vie de ces autres qui nous prêtent leurs nuances

quand nous manquons de couleurs.

 

Comment faire pour cesser, une bonne fois pour toutes,

d'abîmer la douceur ? 

 

Cécile Coulon

noir volcan

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Le temps de l'autosuffisance culturelle est révolu (Abdennour Bidar)

27 Novembre 2021, 19:21pm

Publié par durgalola

... Or les conditions de l'époque contemporaine sont devenues telles, sur le plan de l'expérience et de la pensée, qu'aucune civilisation du monde ne plus nourrir désormais cette illusion solipsiste* de se contenter de "ses propres valeurs", de son " propre héritage". Le temps de l'autosuffisance culturelle est révolu. Le temps de l'universel qu'on prétend définir par et pour soi seul est révolu, que ce soit dans le monde musulman, en Chine, ou... en Occident, qui veut lui aussi croire si souvent que ses valeurs sont déjà de l'universel que le monde entier n'aurait qu'à décalquer.

La seule voie désormais, c'est le décentrement et le dialogue.

Vers quoi ? Vers la formation de ce que Teilhard de Chardin nommait poétiquement "un véritable Esprit de la Terre". Or, celui-ci ne commencera de se constituer que par l'ouverture d'une réflexion planétaire sur l'homme, la coopération des plus grandes pensées de chaque héritage, il s'épanouira quand leur comparaison aura fait émerger leur unité la plus profonde. Car cette unité existe derrière les voiles des différences ou des mythes, et elle nous parle de l'homme comme de cet être qui doit historiquement réaliser cette immortalisation vers laquelle tendent tous les vivants dont il est le fleuron.

 

 

Abdennour BIDAR

L'islam spirituel de Mohammed IQBAL

 

 solipsiste : Conception selon laquelle le moi, avec ses sensations et ses sentiments, constitue la seule réalité existante dont on soit sûr. (définition du Larousse)

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promenade photographique du 1er au 15 octobre 2021

21 Novembre 2021, 20:32pm

Publié par durgalola

promenade photographique du 1er au 15 octobre 2021

 

 

promenade photographique du 1er au 15 octobre 2021

 

 

promenade photographique du 1er au 15 octobre 2021

 

 

promenade photographique du 1er au 15 octobre 2021

 

 

promenade photographique du 1er au 15 octobre 2021

 

 

promenade photographique du 1er au 15 octobre 2021

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jeudi en poésie avec Colette

18 Novembre 2021, 11:22am

Publié par durgalola

11 novembre

 

Dans cette ombre,

brouillard,

froid humide,

vie limitée,

nuit accrochée.

Se souvenir

des soldats dans les tranchées

Faim, froid, fureur.

Fête de Saint Martin

offrant une part de son manteau

rouge

Savoir les migrants 

des pays du Sud

derrière les barbelés

entre Pologne et Biélorussie.

Toujours

faim, froid, fureur.

Plus très loin

notre maison chaude

se souvenir, savoir, partager.

 

 

Agab 

novembre 2021

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Partage photos novembre 2021

13 Novembre 2021, 19:10pm

Publié par durgalola

Partage photos novembre 2021

 

Je vous remercie pour toutes vos magnifiques participations ;

 pour le partage de novembre, il était possible d'envoyer  3 photos avec du rouge, du jaune ou/et  de l'orange ou 3 photos d'animaux à quatre pattes.

 

Pour le prochain partage qui aura lieu en décembre, 

le thème sera : HIVER 

(paysages, villes, décors de Noël) 3 photos maximum

 

Si vous souhaitez participer, merci d'envoyer vos photos à agab57070@yahoo.fr jusqu'au 20 décembre.

 

Partage photos novembre 2021

 

les photos de Daniel

 

Partage photos novembre 2021

gros Loulou, baptisé par moi car j’ignore son nom.

C’était le chat d’un voisin qui a élu domicile chez moi. Un gros mangeur

 

                                              Partage photos novembre 2021

 

Naty, une chatte très indépendante. Faut pas l’embêter !!

               

                                            Partage photos novembre 2021

 

   Pistache, recueilli à la Spa, très sociable, grand copain de gros Loulou 

 

Partage photos novembre 2021

les photos de Renée

 

Partage photos novembre 2021

 

Alsace - septembre 2017

 

Partage photos novembre 2021

Chipie à deux mois et demi avant de partir au Sénégal 

 

Partage photos novembre 2021

dessin de Gabin - octobre 2021

 

Partage photos novembre 2021

les photos de Pascale

 

Partage photos novembre 2021

 

 

Partage photos novembre 2021

 

 

Partage photos novembre 2021

 

 

Partage photos novembre 2021

les photos de Bernadette

 

Partage photos novembre 2021

 

 

Partage photos novembre 2021

 

 

Partage photos novembre 2021

 

 

Partage photos novembre 2021

les photos de Martine/Mayalila

 

Partage photos novembre 2021

 

 

Partage photos novembre 2021

 

 

Partage photos novembre 2021

 

 

Partage photos novembre 2021

les photos de Martine du Sud

 

Partage photos novembre 2021

 

le ragondin

 

Partage photos novembre 2021

 

le chevreuil

Partage photos novembre 2021

le chien

 

 

Partage photos novembre 2021

les photos de Gisèle

 

Partage photos novembre 2021

 

les ânes rencontrés en Alsace cet été

 

Partage photos novembre 2021

 

Manouche, le chat squatter du jardin

 

Partage photos novembre 2021

 

Sibelle

 

Partage photos novembre 2021

les photos de Louvya du blog Lady*Ibis

 

Partage photos novembre 2021

Marley chat gris

 

Partage photos novembre 2021

 

Fripouille chat rouquin

 

 

 

Partage photos novembre 2021

Ciel orange et jaune 

 

 

Partage photos novembre 2021

les photos de Zaza

 

Partage photos novembre 2021

 

Ursulla et Savanne à l'ïle de Batz

 

Partage photos novembre 2021

 

Malin

 

Partage photos novembre 2021

 

Tik Farouk Théo

 

Partage photos novembre 2021

mes photos

 

Partage photos novembre 2021

 

 

Partage photos novembre 2021

 

 

Partage photos novembre 2021

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l'araignée

13 Novembre 2021, 18:57pm

Publié par durgalola

L'araignée

 

Je savais que j'étais dans un rêve ;

dans une maison,

avec elle et lui, des amis,

Dehors une araignée,

assez grande, pas gigantesque,

longues pattes,

abdomen gonflé.

Je n'avais pas peur,

elles ont droit de vivre

aimer et mourir

les araignées.

Je n'avais pas                   si j'avais peur.

De son abdomen 

coulait un liquide large,

fluide, de couleur carambar.

Quand elle montait

le liquide s'écoulait

et j'étais effrayée

Quand elle descendait

le liquide remontait 

en elle.

Rêve incongru,

Je savais que je vivais un rêve.

 

Dans les longues nuits,

des mondes se créent.

 

Andrée Gab

novembre 2021

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L'unique goutte de sang (Arnaud Rozan)

13 Novembre 2021, 16:21pm

Publié par durgalola

L'unique goutte de sang de Arnaud Rozan

Histoire d'un adolescent dans les années 1920 aux Etats Unis où naître noir, attirait tant de haine.

 

 

"Et je souhaite également remercier cette trentaine d'artistes dont les noms et l'une de leurs œuvres figurent en exergue de chaque chapitre.

Pour quelle raison ?

Plusieurs chapitres ont été écrits en tout ou partie d'après l'étude de leurs tableaux : initialement j'imaginais le livre sous la forme d'une galerie de peintures faisant corps avec le texte, et de l'union de l'image et du verbe.....

Il s'agissait aussi de jeter un pont vers l'Harlem Renaissance, mouvement afro-américain né au début des années 1920 (comme l'intrigue de l'unique goutte de sang), au sein duquel poètes et peintres se sont unis pour créer un langage visuel...

Ces oeuvres demeurent encore trop méconnues en France alors qu'elles ont eu une influence majeure sur le mouvement des droits civiques de l'Amérique de l'après guerre.

J'ai finalement renoncé à cette construction, redoutant que les tableaux ne perturbent les voix du texte, voire ne se perdent sous l'image, ou l'inverse." Arnaud Rozan

 

Voici quelques uns de ces tableaux

 

L'unique goutte de sang (Arnaud Rozan)

Robert RYMAN

Untitled Oil on stretched cotton canvas

chapître 1

 

 

L'unique goutte de sang (Arnaud Rozan)

 

Archibald Motley

de l'Harlem Renaissance

Portrait de Grand Mother

chapitre 3

 

 

L'unique goutte de sang (Arnaud Rozan)

 

 Alfred Gottlieb 

Crimson Spinning

chapitre 10

 

L'unique goutte de sang (Arnaud Rozan)

 

Jacob Lawrence

de Harlem Renaissance

Migration series

Chapitre 13

 

 

L'unique goutte de sang (Arnaud Rozan)

 

Reginald Marsch

peintre de la veine du réalisme social

High  Yaller 

Chapitre 19

 

 

L'unique goutte de sang (Arnaud Rozan)

Joe Jones

les Roustabout

chapitre 19

 

L'unique goutte de sang (Arnaud Rozan)

Charles Henry Alston

The family 

chapitre 23

 

 

 

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défi 256 avec Colette

13 Novembre 2021, 15:39pm

Publié par durgalola

défi 256 avec Colette

lundi 15 novembre  Colette nous propose
à partir de phrases de chansons, n’importe lesquelles,
d’un ou de plusieurs chanteurs, sur l’automne ou le thème de votre choix,
assemblez ces phrases pour en faire un texte cohérent.

 

 

 

Chanson d'automne

pour V.

 

Dans ce brouillard désespérant,  Les sanglots longs 
Des violons, des hommes en peine, et de leurs enfants 
narrent la tragédie 
De l'automne.
Bercent mon cœur les souvenirs d'une femme
disparue trop vite,
brutalement enlevée à la vie
D'une langueur
Monotone.
 
Tout suffocant et blême,
le moment de l'accompagner
quand sonne l'heure,
de la messe d'enterrement.
Je me souviens
Des jours anciens
où elle emmenait son petit 
chez la nourrice,
où elle applaudissait pour
le personnel soignant de la covid
Et je pleure
 
Et je m'en vais
gardant ce souvenir
de son fils
portant son cercueil ;
Au vent mauvais
Qui m'emporte
Deçi, delà,
Pareil à la
Feuille morte.
 
 
 
Et je m'en vais
me rappelant à jamais
tous ses proches aimants
une rose à la main,
une vierge pour veiller sur sa tombe
Au vent mauvais
Qui m'emporte
Deçi, delà,
Pareil
À la feuille morte.
 
Et je m'en vais
Elle s'est envolée 
pour ne jamais revenir 
ici
et rire ailleurs.
 
 
 
chantée par Charles TRENET

d'après le poème de Verlaine

(pour V. décédée à l'aube de ses 50 ans le 3/11/21 )

 

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