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Michael Wood, photographe professionnel, se souvient de la première fois où il vit les photos de Chögyam Trungpa. Elles vont changer à jamais son propre travail et sa manière de concevoir la photographie.
Il raconte : « En 1979, j’ai eu la chance de participer à Toronto à un séminaire intitulé « iconographie ». Chôgyam Trungpa y présentat quelques unes de ses photos. …
Quand je les ai vues, le photographe professionnel en moi commença à critiquer : l’exposition n’était pas parfaite, la mise au point manquait de précision, la composition n’entrait dans aucune des formules qu’on m’avait apprises, etc. J’étais plein d’arrogance professionnelle.
L’autre moitié de moi restait sans voix et n’en revenait pas. Je n’avais jamais rien vu d’aussi frais et saisissant. En vérité, j’étais assez ébahi, jamais auparavant je n’avais vu de semblables photographies. Je n’avais pas la moindre idée de la provenance de ces images, j’en suis resté intrigué et dérouté.
Pour moi, l’aspect le plus étonnant des photographies de Trungpa Ripoché, c’est leur fraîche vivacité. Il n’y a pas de scénario ni de tentative de manipuler le spectateur. En les voyant, l’esprit s’arrête et l’expérience de conscience éveillée se transmet. »
Chogyam Trungpa explique que la photographie est, par nature, intrinsèquement précise et aigue. Ses photos tentent d’explorer une telle dimension. Elles ne sont pas complexes et anecdotiques. Chogyam Trungpa n’a pas de sujets ou de thèmes de prédilection qu’il cherche à exprimer. La photographie est, pour lui, une expérience de précision aigue. Lorsqu’il photographie, des brins d’herbe, il fait apparaître chaque brin d’herbe tel qu’il est.
… plus que le brin d’herbe, nous voyons un moment de réalité.
6 commentaires -
En mai, fais ce qu'il te plaît
Et bien, merci pour vos photos-plaisirs et merci à ceux et celles qui les regardent avec grand plaisir.
Le prochain partage aura lieu fin juillet.
Le thème sera celui de l'eau :
les gouttes, les rivières, les poissons, les paysages fluviaux, la mer, et tout ce que cela vous inspire ...
à envoyer à agab57070@yahoo.fr pour le 31 juillet au plus tard.
encore merci.
Ce qui me plaît chez Martine
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A "Tournez manège!" l'amour est couleur vert espérance. Il faut juste
oser franchir le pas
La beauté est parfois piégeuse
Mais le vent emporte tout, même la prudence
Il reste, après son passage, un merveilleux parfum poivré...
Ce qui me plaît chez Cathie
S’allonger dans le pré,Empli de pissenlits,Ecouter les oiseaux chanter,Et dire merci,Merci à la vie,Dans la chaleur d’après-midi,En mai,Fais ce qu’il te plait.Cathie Néri
Ce qui me plaît chez Pascale
Le blog Regards Sud NaturalistesLe Site Pascale Ménétrier DelalandreLa galerie Oiseaux.netLa Galerie Flickr Regards Sud NaturalistesMes participations Magazine Toutes Saisons & S.P.N.G.
ce qui me plaît chez Christiane
Ce qui me plaît chez Mistigris
hello c'est Mistigris de la casa fleurie !voici ma participation,délirante !!........je fais n'importe quoi : tag sur la loco .....!et à QUILLAN, hop un p'tit plongeon dans la cascadeau rond-point de la truite...ha la truite, elle saute du coup !comme le bouchon de la Blanquette !
ce qui me plaît chez Janou
En mai, fais ce qu'il te plait,A l'aube d'une belle journée,je défroisse ma robepimpante sous la brise de Mai,je cours dans les prés,voyez mon jupon au vent,vite, vite fêtons le beau MaiJanou
ce qui me plaît ...
aller et venir et regarder, contempler, m'oublier
c'est ce qui me plaît dans ces promenades quotidiennes.
m'immerger dans les fleurs, les oiseaux, les insectes ... et tous les autres êtres.
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A faire paraître le 18 mai (un mois avant l’appel du 18 juin )
Voici le défi 145 des croqueurs de mots
Pour faire un poème dadaïste :
-Prenez un journal.(Pas votre journal intime , mais bon , si vous y tenez pourquoi pas ?
-Prenez des ciseaux.(Le choix des ciseaux est très important :
il ne s’agit pas de s’énerver et de déchiqueter le journal)
-Choisissez dans ce journal un article ayant la longueur que vous comptez donner à votre poème.
-Découpez l’article.
-Découpez ensuite avec soin chacun des mots qui forment cet article et mettez-les dans un sac.
-Agitez doucement.
-Sortez ensuite chaque coupure l’une après l’autre.
-Copiez-les consciencieusement dans l’ordre où elles ont quitté le sac.
(Je saurai si vous trichez = un gage )
Le poème vous ressemblera.
Et vous voilà un écrivain infiniment original et d’une sensibilité charmante,
Encore qu’incomprise du vulgaire.(Nous sommes tous des incompris)
Tristan Tzara
faire un poème dadaïste c'est un peu bizarre et anarchique.
Alors, il me restait de choisir un texte pas trop long, la lecture mic-mac aurait été casse-tête, un texte court dans un journal ... alors celui relatif à l'association L214 trouvé sur le net (pour ce défi zonzon, j'ai cherché un texte fort). Ci-dessous vous le trouverez dans son intégrité.
Ensuite sensation d'enfance par le découpage et le tirage au sort et le collage ...
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