• Défi 209 des croqueurs de mots

    Défi 209

    Jeanne FADOSI, capitaine de cette quinzaine automnale, propose que nous écrivions un petit texte en prose quelques expressions (3 ou 4)

    incluant le mot œil ou le mot yeux.

    (*) 

    champ libre à celles et ceux qui n’aiment pas trop les contraintes et si vous souhaitez un ou des fils conducteurs,

    restons dans le domaine de la vision avec, la vue et la cécité, la lumière et l’obscurité (précisions de Domi)

    Défi 209 des croqueurs de mots

     

    Point de vue 

     

    A la dernière conférence de M. José KLIMT, dans la salle "Soleil Rouge", Cécile se rend, bon pied, bon œil avec son amie, sa colocatrice d'un appartement merveilleusement exposé face au coucher de soleil. Son amie Amélia suit des cours de kinésithérapeute et la philosophie lui semble ennuyeuse. Cependant Cécile est certaine que le philosophe genevois l'intéressera. La jeune femme aide Amélia à s'installer, la salle est pleine. Un bouquet de fleurs est posé sur la table à côté de lui, un morceau de musique, doux et joyeux circule, fleuve invisible.

    Et le professeur commence son exposé sur la beauté. Il projette des diapositives de statues grecques, de tableaux médiévaux ou modernes, le baiser de Klimt (petit clin d’œil, il n'est pas du tout son descendant).

    Quand elle jette un oeil sur son amie, elle est contente, Amélia sourit, se concentre, tend ses oreilles et approuve souvent de la tête. 

    Plus d'une heure est passée et une voix prononce : "aucune grâce extérieure n'est complète si la beauté intérieure ne la vivifie. La beauté de l'âme se répand comme une lumière sur la beauté du corps - Victor Hugo.

    "Maintenant, la deuxième partie de cette conférence est pour vous, chers auditrices et auditeurs. Posez vos questions, intervenez, et dans la mesure du possible, je vous répondrai." Comme souvent, un  moment de silence se pose avant qu'une personne ose la première question. Elle est simple et a le mérite d'encourager les autres à s'exprimer ou apporter des précisions. "Une dernière question ?". Un jeune homme se lève "Pour être sensible à la beauté, faut-il voir ?". Le  professeur répond un peu rapidement ... "Oui, bien sûr".

    ...

    Les amies se lèvent et suivent la foule animée. Amélia, avance, aidée de sa canne blanche, se tourne vers  son amie, philosophe en herbe, et lui confie "Pour moi la beauté, c'est quand je caresse mon chat !" et elle sourit, se remémorant ces moments de grâce. 

     

    pour Céline,


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  • ... les écrits restent (3)

     

    ... les écrits restent (3)

     

     

     

    ... les écrits restent (3)

     

     

     

    ... les écrits restent (3)

     

    51ème Parc naturel régional de France, celui des Baronnies provençales a été crée en 2014. A cheval entre la Drôme et les Hautes-Alpes, au croisement des influences alpines et provençales, le territoire du Parc bénéficie d’un relief tortueux de moyenne montagne avec un climat méditerranéen. 

    Lors  de l'enquête préalable, 44 communes sur 126 étaient contre.

     


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  • Je vous présente les photos reçues sur le thème AVANT - APRES.

    Tout d'abord, je remercie toutes les participantes et ensuite, toutes les personnes qui viendront les regarder.

    L'automne est bien présent, et le thème est tout trouvé pour novembre. "de toutes les couleurs" ou au contraire automne en noir et blanc, si vous préférez. (à envoyer à agab57070@yahoo.fr avant le 5 novembre). 

    Je vous souhaite d'excellentes journées. 

     

    graines de partage octobre 2018  Bernadette

     

    graines de partage octobre 2018

     

    Avant dans les années 2000, Jano avec ses petits neveux Aymeric, Valérian et la cousine Adeline 

     

    graines de partage octobre 2018

     

    Après,  cette année avec Aymeric, Valérian et Enguerran (qui était trop petit donc pas sur la première photo !) 

     

     

     

    graines de partage octobre 2018   Pascale

     

    graines de partage octobre 2018

     

    Avant

     

    graines de partage octobre 2018

     

     Après

      

    graines de partage octobre 2018  ZazaRambette

     

    graines de partage octobre 2018

     

    Avant,  Farouk avril 2010 (il est né en janvier 2010)

    "Sniff... maman, je veux rentrer... !"

     

     graines de partage octobre 2018

     

    Après, Farouk juin 2012

    "Je monte la garde ! Ce que je n'avais pas prévu c'est que je me suis cassé la bobine dans de bas de la cour. Heureusement plus de peur que de mal"

     

    graines de partage octobre 2018

     

    Et encore après, Farouk juillet 2012

    "J'ai abandonné mon perchoir, trop de risques, je préfère la bronzette sur la table de la terrasse !"

     

    graines de partage octobre 2018  Hélène

     

     

     les bébés de ma Bella

     

    graines de partage octobre 2018

     

    Avant 

     

    graines de partage octobre 2018

     

    Après

     

     

    graines de partage octobre 2018    mes photos 

     

     

    graines de partage octobre 2018

     

    Mamzelle DJINNIE

    avant en juillet 2008 avec sa médaille de la SPA

     

    graines de partage octobre 2018

     

    après en septembre 2018

    près du Cap Lardier (toujours aussi joueuse, le bâton m'attend)

        

     


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    Métro – ligne 4 – station Saint Sulpice – vendredi 17 h

     

    Les gens s'entassent, station après station. Ils sont plus proches qu'avec leurs proches. En premier, entrer, trouver une place debout, se tenir à une barre, se caler dans un coin. La rame tortillonne dans le long tunnel. Prenant de la vitesse, décélérant. Prochaine station, plusieurs sortent, en entrent plus nombreux. Une femme à l'âge de la retraite, gilet aux losanges blanc et noir, queue de cheval blanche, partage « si une bombe explosait, là, maintenant ! Que de ravages » et poursuit « je n'ai pas peur de mourir ! ». Rame suivante, des hommes, 3, blousons en cuir, descendent pour permettre de sortir et reviennent. Un homme noir, athlétique, cherche à se caser sans écraser les pieds de quiconque. Ma voisine, Marianne possible, peau blanche, cheveux blonds, yeux bleus, tailleur bleu France, se colle davantage pour qu'une voyageuse, une étrangère, anglaise, américaine, 50 ans peut-être et rayonnante, peau noire, avec son sac sombre aux fleurs rose fuchsia puisse rester debout. Elle murmure quelques mots assourdis par le bruit. Plus loin, mon amie sourit, un rien séparées par plusieurs personnes dont une femme trapue au visage basané, peut être femme du voyage, maintenue par son mari. Station suivante, les Halles peut-être, Marianne descend, d'autres aussi, s'installent des étudiants aux traits poupins avec leurs sacs chargés qui se préparent à rentrer en Province chez papa et maman. Nous nous habituons à voyager, de façon si compacte, devenons un moment des compagnons. Station gare de l'Est, il faut bien 2/3 minutes pour que tous descendent. Une jeune enfant, deux ans peut être, dans les bras de sa mère d'origine africaine, sourit. Elle est ravissante avec ses multiples chouchous dans ses cheveux crépus. Beaucoup lui font au revoir. Gracieuse, elle  nous salue de sa petite main. Il est temps de suivre la longue file, torrent impétueux jusqu'aux quais de la gare.

     

    Nous sommes tous vivants !


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  • promenade photographique de 16 au 31 août

     

    promenade photographique de 16 au 31 août

     

    promenade photographique de 16 au 31 août

     

    promenade photographique de 16 au 31 août

     

    promenade photographique de 16 au 31 août

     

    promenade photographique de 16 au 31 août

     

    promenade photographique de 16 au 31 août

     

    promenade photographique de 16 au 31 août


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