• Jeudi poésie 17 février.

    Vous créez une poésie originale composée uniquement de questions.

     

    Jeudi en poésie avec les Cabardouche

     

     

    Pourquoi deux présidents jouent à la guerre, Ukraine en tenaille  ?

    Comment se fait-il que les perruches aiment vivre en Lorraine ?

    Où vont donc tous ces êtres fuyant leurs pays, Afghanistan, Syrie et Mali ?

     

    Pourquoi certains choisissent de

    faire le plus de profit ?

     

    Est il possible de vivre en paix ensemble ?

     

    Agab (02/22)

     

     

     

     

    les gens qu'on interroge, pourvu qu'on les interroge bien,

    trouvent d'eux-mêmes les bonnes réponses

    Socrate

     

     


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  • défi 261 avec les Cabardouche

     

     les Cabardouche nous  proposent pour Défi écriture lundi 14 février 

    de dresser  le portrait d’un Valentin célèbre en y incluant une anecdote inventée.

     

    défi 261 avec les Cabardouche

    Adélaïde VALENTIN - colonelle de la commune de Paris 

     

    Adélaïde VALENTIN, ouvrière de Paris s'illustra lors de la commune de Paris. Il s'agit d'un mouvement révolutionnaire qui mit en place un gouvernement insurrectionnel entre le 18 mars et le 28 mai 1871. Sous l'effet du blocus du à l'occupation des troupes prusses, les Parisiens sont affamés. Quand le pouvoir républicain décide de capituler, les Parisiens refusent de se rendre. La commune de Paris organise  un contre-gouvernement.

    Cette jeune femme dont personne ne connaît la date de naissance, ni la date de décès, participe à la fondation de l'Union des femmes pour la défense de Paris et les soins aux blessés. Elle dirige à partir du 10 mai, la légion des Fédérées, organisation militaire exclusivement féminine. Certains la décrivent comme une femme aux cheveux roux, courageuse, virulente qui s'adresse aux femmes pour les exhorter à participer à la défense de la Commune.

    L'union des femmes, qui participe à une émancipation des femmes, réclame le droit au travail, l'égalité des salaires. (Louise Michel en fera partie).

    Dans son dernier discours au club des Prolétaires le 20 mai, veille de l'entrée des forces loyalistes dans Paris qui marque le début de la Semaine Sanglante et la chute de la Commune, elle demande à "toutes les citoyennes à se rendre utilise à la cause que nous défendons aujourd'hui ; elle dit de garder les postes dans Paris pendant que les hommes iront au combat" A la fin elle demande que "les fleurs qui se trouvent aux autels, chapelles et partout auprès des madones, qu'on les donne dans les écoles comme récompense aux enfants pour orner les mansardes des pauvres gens". 

    Après le 20 mai 1871, personne ne parlera plus d'Adélaïde Valentin (succombera-t-elle durant cette semaine sanglante, sera-t-elle déportée en Nouvelle Calédonie ?)

    (je me suis beaucoup inspirée des articles sur Wikipédia)

    Le 18 mars, Victor HUGO rentre à Paris. Son fils Charles, journaliste, 44 ans est décédé à Bordeaux le 13 mars à la suite d'une congestion foudroyante. Il vient de l'enterrer au cimetière du Père Lachaise. Une jeune femme Adélaïde, pleure sur la tombe de sa mère. Victor Hugo ne la voit pas, tout à son chagrin, et la bouscule en partant. Il rebrousse chemin, lui prend la main pour l'aider à la relever. La rencontre est rapide, Adélaïde reconnaît le grand homme  ; elle sait qu'il a refusé de signer le traité de paix présenté par Thiers. Elle le supplie de participer à la Commune mais il doit se rendre à Bruxelles. Il est émue par cette femme s'engageant dans la commune. Elle est fière, si entière, une femme si différente des femmes éduquées dans la soumission, le service, sans droit de vote. "Madame, lui dit-il, je vous admire, et souvenez-vous que ma porte vous sera toujours ouverte !". 

    Ils se saluent, elle filant rejoindre Louise Neckbecker et Marie Rogissart. Victor Hugo, s'en va, le coeur brisé. 

    défi 261 avec les Cabardouche

    Louise Michel en uniforme de fédérée

     

    VIRO MAJOR (hommage de Victor Hugo à Louise MICHEL)

    Ayant vu le massacre immense, le combat,
    Le peuple sur sa croix, Paris sur son grabat,
    La pitié formidable était dans tes paroles ;
    Tu faisais ce que font les grandes âmes folles,
    Et lasse de lutter, de rêver, de souffrir,
    Tu disais : J'ai tué ! car tu voulais mourir.

     ...

     

     Et ceux qui comme moi, te savent incapable
    De tout ce qui n'est pas héroïsme et vertu,
    Qui savent que si Dieu te disait : D'ou viens tu ?
    Tu répondrais : Je viens de la nuit où l'on souffre ;
    Dieu, je sors du devoir dont vous faites un gouffre !
    Ceux qui savent tes vers mystérieux et doux,
    Tes jours, tes nuits, tes soins, tes pleurs, donnés à tous,
    Ton oubli de toi-même à secourir les autres,
    Ta parole semblable aux flammes des apôtres ;
    Ceux qui savent le toit sans feu, sans air, sans pain,
    Le lit de sangle avec la table de sapin,
    Ta bonté, ta fierté de femme populaire,
    L'âpre attendrissement qui dort sous ta colère,
    Ton long regard de haine à tous les inhumains,
    Et les pieds des enfants réchauffés dans tes mains ;
    Ceux-là, femme, devant ta majesté farouche,
    Méditaient, et, malgré l'amer pli de ta bouche,
    Malgré le maudisseur qui, s'acharnant sur toi,
    Te jetait tous les cris indignés de la loi,
    Malgré ta voix fatale et haute qui t'accuse,
    Voyaient resplendir l'ange à travers la méduse.

     (extrait)

     


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  • Jeudi poésie 10 janvier.

    Vous créez un acrostiche avec le prénom VALENTIN

    (L'origine réelle de cette fête est attestée au xive siècle dans la Grande Bretagne  où le jour de la Saint-Valentin du 14 février était fêté comme une fête des amoureux car l'on pensait que les oiseaux choisissaient ce jour pour s'apparier. Restée vivace dans le monde anglo saxon,  cette fête s'est ensuite répandue à travers le continent à une époque récente. wikipédia)

     

    Jeudi en poésie avec les Cabardouche

     

     

    Vous souvenez vous, bel 

    Amant, des temps d'avant.

    Le premier jour

    Et baiser échangé.

    Nous regardions émerveillés

    Tous les oiseaux se promettre AMOUR

    Ingénuement, je m'ouvris

    Nul autre, me ravit.

     

    Agab (02/22)


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  • premier jeudi poésie 

    Vous adresserez votre poème à Eglantine-Lilas

    jeudi en poésie avec Domi

     

    Appartenir au même bateau

    au même trois mats

    hisse et haut

    avec ces marins au bonnet  

    pompon rouge

    et voguer année après

    année sur les océans de mots.

    houle et brise 

     

    Appartenir au même bateau

    et très peu se connaître

    Pourtant de partout

    aujourd'hui monte 

    le parfum d'Eglantine

    savoureux, discret.

    D'elle cette fière écrivaine

    je connais la bonté.

    Sa coquille, elle l'offre

    aux marins sans bateau

    Cela prouve son

    grand coeur.

     

    Hisse et haut, et que navigue

    le trois mats des 

    croqueurs de MOTS.


    19 commentaires
  • premier jeudi poésie 

    Vous adresserez votre poème à M’amzelle Jeanne

     ----

    Se souvenir

    des mots, des textes, des compositions

    de M'amzelle Jeanne

     

    Oh les défis proposés

    par les capitaines émérites ou casse-cou.

     

    Se souvenir

    des créations, des arrangements

    de M'amzelle Jeanne.

    Rien ne semblait incongru,

    malvenu,

    mal assemblé

    Se souvenir

    de M'amzelle Jeanne

    de son talent de conteuse,

    d'écrivaine,

     

    Serait elle la réincarnation

    de George Sand, Sophie de Ségur ou Marceline Desbordes-Valmore ?

     

    un bouquet de roses, pâquerettes et myosotis

    pour la célébrer.

    Merci Mamzelle Jeanne.

     

    Agab (01/22)

     


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