• promenades photographiques du 16 au 31 mai

     

     

    promenades photographiques du 16 au 31 mai

     

     

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  • rappel partage photos de juin

     

    Ça y est , nous voici en juin et le dernier partage avant le mois de septembre. Je vous rappelle que le thème est

     vieilles pierres

    (galets, ou châteaux  ou maison ou sculptures, et tout à quoi je n'ai pas songé) 

    ou/et paysages de  montagnes.

    Si vous souhaitez participez, merci d'envoyer vos photos à agab57070@yahoo.fr jusqu'au lundi 11 juin. 

    Merci pour vos envois ; c'est toujours génial d'afficher toutes nos photos ensembles !


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  • Jeudi en poésie avec Asfree

     

    Avec les croqueurs de mots

    Pour l’un ou l’autre jeudi, en proses ou en vers, en images, en chanson ou en citations,

    en textes drôles, insolites, créatifs comme vous voulez…

    Asfree nous propose comme thème « la liberté » 

     

    LIBRE 

     

    Libre comme l'air

    libre comme le vent

    seul fil à la patte

    La mort

    au bout des ans

    la fin des saisons

    la fin des temps.

     

    Libre comme l'air

    libre comme le vent

    La vie

    cris et douceurs

    merveilles et horreurs

    au bout du doigt

     

    Libre comme l'air

    libre comme le vent

    L'amour

    vainqueur et vainqueur

    fort et fragile

    l'amour, quoi !?


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  • Défi 206 avec Asfree

    Défi 206

    des croqueurs de mots

     

    Un océan, deux mers, trois continents

    de Wielfried N'SONDE

     "Dieu, sais-tu ? Dieu s'est tu ... ils m'ont vendu" Wilfried N'Sondé

     

    Asfree, nous demande : pouvez vous imaginez qu’un personnage fictif rencontré

    à travers un roman ou un film vous écrive ?

    A moins que se soit vous qui ayez quelque chose à lui dire ?

    Dans le défi du lundi, présentez nous ce personnage, sa lettre ou la vôtre.

    (j'ai choisi d'écrire à l'auteur à l'écriture forte, vibrante, humaine)

     

    Monsieur Wielfried N'SONDE,

    Il est impossible que ce livre soit vrai, il est impossible que vous soyez entrer dans la peau de cet homme du XVIIème siècle, et que faudrait-il donc pour que je ferme le livre page 106, le laisse de côté et l'ouvre plus tard quand la terre aurait tourné deux milliards de fois.

    Monsieur Wielfried N'SONDE,

    Dès la première page, nous savons que cet homme est mort, cet homme qui a existé, témoin son buste « Nigrita » dans l'église San Maggiore à Rome, Dom Antonio Manuel, homme noir, orphelin élevé par des parents adoptifs aimants, prêtre du Christ, amour et bienveillance. devenu en 1604 premier ambassadeur africain du Kongo auprès du pape, 

    Vous expliquez le début de sa vie, sa proximité vis à vis des autres, vous expliquez l'origine de l'esclavage et dans les premiers temps, les esclaves vendus furent les ennemis, les prisonniers en échange de biens occidentaux (produits luxueux et armes). Et ce prêtre rencontre le roi Alvaro II qui lui confie cette mission secrète, demander au pape que cesse l'esclavage.

    Ensuite, Antonio Manuel rejoint le navire «Le Vent Paraclet » où il va assister à l'embarquement honteux des esclaves pour les Amériques. Maltraitances, souffrances, viols, déshumanisation, l'horreur le saisit, il voit aussi les marins dont le sort est à peine enviable. Il en est malade, lui-même est à peine respecté par les hommes blancs. Seul, Martin, un moussaillon réchappé d'une terre où il était serf, lui apportera une brume d'amour, une amitié.

    Monsieur Wielfried N'SONDE,

    Et naviguant de concert avec cet homme, bousculé comme le navire dans les tornades, les rouleaux immenses de l'océan, s'en allant vers un destin cruel (il mourra 4 ans après) , je voudrais arrêter de lire votre livre.

    Tant d'hommes vont mourir (esclaves, marins), et cette statue dans l'église romaine nous enseigne que siècle après siècle, nous devons lutter pour l'amour et la bienveillance, la liberté. En vous lisant, nous nous sentons responsables comme nous pouvons l'être aussi, aujourd'hui, du destin des migrants.

    Il m'est impossible de poursuivre sa lecture, sans prendre dans la gueule des bordées d'eau de mer, des injustices, de l'amertume, de l'horreur, des hauts le coeur. Me faudra-t-il prier Dieu encore et encore pour que les hommes se respectent et s'aiment ? Me faudra-t-il vous prier de continuer à écrire et écrire pour remuer nos âmes, oui, pour moi et tous mes frères et mes sœurs, et pour nous mettre debout !

    Soyez assuré de mes sentiments respectueux.

    votre lectrice

     


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