• Défi 215 avec  ABC

    Défi 215 

     

    le capitaine ABC nous propose :

     

    “Qui suis-je ?”

    Écrivez une phrase qui parle de vous, sans vous décrire, mais à travers laquelle,

    ceux qui vous connaissent, à coup sûr vous reconnaîtront.

     

    ............

     

    Juste quelques mois après sa naissance difficile dans une ville du centre de la France, notre balance de blogueuse, rejoint avec sa mère, son père balancier vivant tout là haut, pas loin des Luxembourgeois et des Allemands.

    .....

    Pas de réponse... je poursuis... blogueuse pas trop bonne élève, pension chez les soeurs de la Providence, elle termine presque dernière en 5ème avant d'intégrer une classe de certificat d'études qui lui donnera tout le punch pour reprendre confiance

    ...

    Je survole ... cinquante années, mariage, enfants adoptés, secrétaire, elle rejoint la blogosphère peu après avoir recueilli Durga, chaton de cinq semaines, renversé par un véhicule juste devant leur voiture...

    ...

    Toujours pas trouvé... elle prend comme surnom le nom de sa douce chienne, crème des crèmes, accolé au nom de sa  chatte sauvageonne... Elle est végétarienne et aime la photographie, les animaux,  la spiritualité,  la littérature, la poésie, la famille,  ses blogueurs amis ...

    .....

    Elle est ... Elle est ... Durgalola

     

     

    merci à Olivier LIRON

    (Einstein, Le sexe et moi - romance télévisuelle avec mésanges)

    qui me donne l'idée de faire à la façon de Julien Lepers


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  •  

    Pourquoi on tue des vaches gestantes ? Cette question, j'ai eu le temps de me la poser des milliers de fois. D'abord parce qu'aucune loi ne l'interdit, c'est aussi simple que cela. L'abattage de vaches gestantes est toléré par l'Union européenne...

    ...

    Lorsqu'ils (les grossistes) achètent des vaches pleines, je crois que les grossistes sont totalement conscients de ce qu'ils font. Une vache pleine est plus calme, plus facile à manipuler, et surtout plus grasse. Grossistes et éleveurs ont donc  beaucoup à y gagner : une vingtaine de kilos de plus par vache, vu le prix de la viande, ça compte !

    ...

    Le directeur de l'abattoir, enfin, pourrait passer des consignes, s'ils ne craignait pas lui aussi que les grossistes désertent. En fait tout le monde se tient par la barbichette. Personne ne parle, car tout le monde veut pouvoir continuer à se faire le plus d'argent possible. Chacun a sa part de responsabilité. Plus que les abattoirs, c'est la société toute entière qui est défaillante, en choisissant de fermer les yeux sur la situation, en refusant d'établir un lien entre l'animal et le steak dans notre assiette. Nous consommons tous beaucoup trop de viande. A la télévision, les lobbies multiplient les spots vantant la bidoche pas chère, les concours culinaires se multiplient sur toutes les chaînes. Les fast-foods poussent comme des champignons, tandis que les vrais restaurants se raréfient. Nous sommes tous coupables. En cédant aux sirènes de l'élevage intensif, c'est nous-mêmes que nous sacrifions.

     

    Mauricio GARCIA PEREIRA

    Ma vie toute crue


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  •  une poésie que vous aimez

    et que vous pouvez écrire de tête (enfin presque)

     

     

     

    Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
    D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime
    Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même
    Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.

    Car elle me comprend, et mon coeur, transparent
    Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problème
    Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême,
    Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant.

    Est-elle brune, blonde ou rousse ? - Je l'ignore.
    Son nom ? Je me souviens qu'il est doux et sonore
    Comme ceux des aimés que la Vie exila.

    Son regard est pareil au regard des statues,
    Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a
    L'inflexion des voix chères qui se sont tues.

     

    Verlaine

     

     


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  • Tous les êtres vivants s'appartiennent mutuellement car nous ne sommes pas des êtres séparés, mais des dynamismes, ou les étapes d'un processus. Il n'y a pas de mort, seulement une transformation. une grande différence peut être décrite entre les conceptions occidentales et les conceptions indiennes du temps. 

    La perception occidentale du temps est linéaire et progressive (...). Chaque moment est considéré comme une étape par rapport aux autres ; chaque moment est supérieur aux moments précédents, mais pas aussi agréable que celui qui suivra (...).

    Notre perception du temps est, au contraire, sphérique - il n'y a ni passé ni futur, car ils font un avec le présent. Chaque moment du temps est propre à lui-même - l'unique interaction d'événements infinis depuis le commencement du temps - et a des conséquences infinis.

    De même que chaque point de l'espace est le centre de l'univers, chaque moment est le centre du temps, l'unique et précieux instant auquel la Terre s'est préparée depuis son origine. Rien ne progresse, n'avance, ni ne s'améliore. Tout est dans tout ce qui a été et ce qui sera. Un arbre haut de trois pieds n'est ni supérieur ni inférieur à un arbre de trente pieds. Il n'est jamais ni supérieur ni inférieur à ce qu'il était, ou à ce qu'il sera. Il doit toujours être en harmonie avec lui-même.

    Fayle High Pine 

    "Wakan Tanka. Le grand esprit, permanent et stable.

    revue Question De numéro 34 (janvier-février 1980)

    (le monde des religions - nov/déc 2018)


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  • promenade photographique du 1er au 15 décembre

     

    promenade photographique du 1er au 15 décembre

     

    promenade photographique du 1er au 15 décembre

     

    promenade photographique du 1er au 15 décembre

     

    promenade photographique du 1er au 15 décembre

     

    promenade photographique du 1er au 15 décembre


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