• partage photos février

     

    Merci pour toutes vos photographies qui jouent avec les couleurs et le noir et blanc. 

    Merci à vous qui venez visiter notre galerie.

    Le prochain partage aura lieu au printemps (fin mars, début avril) avec un thème unique : PRINTEMPS 

    Si vous souhaitez participer, envoyez moi vos photos (4 maximum) à agab57070@yahoo.fr

     

    partage photos février 

    les photographies de Martine

     

    partage photos février

     

    partage photos février

     

     

    partage photos février

     

    partage photos février 

    les photographies de Brigitte

     

    partage photos février

     

    lever de soleil

     

    partage photos février

     

    oiseau

     

    partage photos février

     

    fleur de citronnier

     

    partage photos février 

    les photographies de Bernadette

     

    partage photos février

     

    ce sera noir et...rose !

     

    partage photos février

     

    noir et...gris...

     

    partage photos février

     

    noir et...blanc !!

     

    partage photos février

     

     

     

    partage photos février 

    les photographies d'Ulysse

     

    partage photos février

     

     

    partage photos février

     

     

    partage photos février

     

     

    partage photos février

     

    partage photos février

    les photographies de Jazzy

     

    partage photos février

     

     

     

    partage photos février

     

     

     

    partage photos février

     

     

    partage photos février

     

    partage photos février

    mes photographies

     

    partage photos février

     

     

    partage photos février


    23 commentaires
  • Chemin faisant, Jésus entra dans un village. Une femme nommée Marthe le reçut.Elle avait une sœur appelée Marie qui, s’étant assise aux pieds du Seigneur, écoutait sa parole. Quant à Marthe, elle était accaparée par les multiples occupations du service. Elle intervint et dit : « Seigneur, cela ne te fait rien que ma sœur m’ait laissé faire seule le service ? Dis-lui donc de m’aider. » Le Seigneur lui répondit : « Marthe, Marthe, tu te donnes du souci et tu t’agites pour bien des choses.Une seule est nécessaire. Marie a choisi la meilleure part, elle ne lui sera pas enlevée. » évangile de Luc

     

    Le problème de Marthe n'est pas qu'elle était à la cuisine au lieu d'être au salon ; c'est qu'à la cuisine, elle s'occupait de cuisine sans chercher le Christ. C'est que l'on peut cuisiner de deux manières bien différentes : on peut cuisiner pour réussir le plat, ou pour faire plaisir aux invités ; ce n'est pas sans lien, puisque pour faire plaisir aux invités, en général, il faut réussir le plat, mais l'état d'esprit est, il me semble, très différent.

    Dans un cas, vous préparez de la nourriture, et dans l'autre vous fabriquez de la communion. Ce n'est pas tout à fait la même chose. Il y a du plaisir à réussir un œuf poché sans le casser, il y a du plaisir à goûter une sauce particulièrement réussie, mais c'est un plaisir bien différent que de passer son après-midi tout occupé des gens qu'on aime et pour qui on travaille. Cuisiner peut être un plaisir ou un fardeau, mais ce peut être aussi un acte d'amour.

    Si Marthe ne l'avait pas oublié, elle aurait choisi, elle aussi, la meilleure. Elle aurait découvert que ce qu'elle prenait pour un effort méritant une récompense, c'était déjà la récompense elle-même ; que la vie chrétienne, ce n'est pas s'épuiser à mériter un jour la vie éternelle, le Royaume de Dieu, mais c'est recevoir cette vie et ce Royaume qui nous sont déjà donnés ; que la vie chrétienne, ce n'est pas autre chose que la vie éternelle, la vie avec Dieu déjà commencée. 

    C'est que pour parodier une antique formule, pour peu que nous l'ayons laissé entrer, Dieu est aussi dans la cuisine. 

     

    Adrien CANDIARD

    A Philémon

    Réflexions sur la liberté chrétienne


    12 commentaires
  • Pour la Poésie du jeudi 20 février .les Cabardouche nous propose … A la manière de Jean Luc Moreau, composez une poésie commençant par des « si » et se concluant par un conditionnel enchanteur.

     

    Si la sardine avait des ailes;

    Si Gaston s’appelait Gisèle

    Si l’on pleurait lorsqu’on rit,

    Si le pape habitait Paris,

    Si l’on mourait avant de naître,

    Si la porte était la fenêtre,

    Si l’agneau dévorait le loup,

    Si les Normands parlaient zoulou,

    Si la mer noire était la mer blanche,

    Si le monde était à l’envers,

    Je marcherais les pieds en l’air,

    Le jour je garderais la chambre,

    J’irais à la plage en décembre,

    Deux et un ne feraient plus trois…

    Quel ennui ce monde à l’endroit !

    Jean-Luc Moreau

     

    Jeudi poésie avec les Cabardouche

     

     

    Si, aujourd'hui, le soleil

    chauffait trois cœurs.

    Si ces cœurs, hommes

    ou bêtes oubliaient de gagner

    ne fut-ce qu'un jour.

    Si celui-là refusait

    de boire, se droguer et lui,

    de jouer en bourse,

    - hourvari dans le stress -

    suprême écrasement

    des hommes de peine.

    Si le loup léchait l'agneau 

    Peut-être que notre joli monde

    retrouverait son enfance et nous, 

    crierions de joie dans le sable blanc

    des mers au fond transparent.

    Des cris de joie

     

    Agab 02/2020

     

     


    15 commentaires
  •  

    partage photos février

     

     

    Si vous souhaitez participer au partage photos de février, je vous propose 2 thèmes :

    - photos en noir et blanc

    - ou, pour celles et ceux qui préfèrent les photos en couleur, des photos très colorées (photos de toute saison).

    Vous pourrez envoyer vos photos jusqu'au 22 février (4 maximum) à mon adresse : agab57070@yahoo.fr Je vous en remercie d'avance.

     

     

    partage photos février


    7 commentaires
  • La maison

     

    Je voudrais simplement,

    j'insiste, simplement,

    une maison au bord

    d'un de ces lacs en Auvergne

    que je connais comme si

    j'étais née à l'intérieur.

    Dans cette maison,

    peu meublée,

    il y aurait tout de même

    une chambre pour Karine,

    une autre pour Chloé,

    du vin rouge,

    assez pour ne pas en manquer,

    ce qu'il faut de réserve

    dans le sucrier,

    une baignoire évidemment,

    des livres dans la salle de bains,

    un œil de bœuf que frôleraient,

    en automne, les branches des sapins.

    A quelques centaines de mètres

    je louerai une parcelle pour ma mule

    afin qu'aux premiers signes

    du printemps

    nous puissions cheminer ensemble,

    amuser les enfants qui ne seraient 

    pas les miens,

    transporter le pain noir

    jusqu'à l'heure du goûter.

    Voilà, c'est ainsi, 

    je voudrais simplement,

    j'insiste, simplement,

    cette maison, ce sucrier,

    cet âne solitaire, peut-être

    un chien, qui sait ?

    Oserais-je demander, de temps en temps,

    une lettre de la femme que j'aime ?

    Oserais-je demander, de temps en temps,

    un baiser de la femme que j'aime ?

    Oserais-je demander, de temps en temps,

    les mains de la femme que j'aime ?

    Probablement pas. Probablement jamais.

     

    Cécile COULON

    les ronces


    17 commentaires